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Successeur du X2D 100C, le boitier Hasselblad X2D II 100C apporte l’AF‑C avec détection de sujet, un HNCS HDR visible de la capture à l’export, une stabilisation portée à 10 stops et un écran 3,6’’ à 1 400 nits : de quoi gagner en sérénité à l’aperçu et en constance à la livraison. Voici les atouts de ce boitier haut de gamme signé Hasselblad :
Le HNCS HDR du Hasselblad X2D II 100C affiche et exporte des images HDR directement dans l’appareil. Ce point change le rythme d’une séance : on n’hésite plus sur l’exposition d’une baie vitrée en immobilier, ni sur l’éclat d’un tissu satiné en packshot. L’écran OLED de 3,6’’, capable de monter jusqu’à 1 400 nits et couvrant le P3 D65, sert de jauge fiable en extérieur. On “voit” la haute lumière sans la cramer, on ajuste finement le contraste local, et l’on confirme la cohérence d’un set avant même d’ouvrir l’ordinateur.
Dans une logique de production, cette visibilité réduit les allers‑retours : un directeur artistique obtient une validation immédiate, un photographe de mariage sait que la robe reste texturée au soleil tandis que les visages gardent du modelé à l’ombre. Si l’on préfère rester en SDR, on bascule simplement de mode ; les fichiers RAW conservent toute la latitude et peuvent être traités en HDR dans Phocus ou Phocus Mobile 2. Le capteur 100 MP en 16 bits préserve les micro‑dégradés : un ciel moutonne sans bandes, un métal brossé garde sa finesse, une peau reste crédible sans virer plastique. En tirage grand format ou en retouche sélective, cette réserve de nuances se traduit par des corrections plus propres et moins destructrices.
Autre bénéfice concret : sur une série mixant sources contrastées (fenêtre, néons, lampe tungstène), l’aperçu HDR aide à positionner la balance des blancs et la courbe sans perdre l’ambiance. On ne “corrige” pas pour rattraper, on “dose” pour traduire ce que l’œil perçoit. Et lorsque l’on doit livrer rapidement sur mobile, l’export Ultra HDR JPEG garde ce rendu étendu pour les écrans compatibles, tout en restant lisible sur les autres périphériques.
L’autofocus AF‑C du boîtier moyen format suit les sujets avec détection dédiée (humains, véhicules, chiens, chats). En portrait environnemental, l’œil reste accroché même si le modèle bouge légèrement ; en reportage, un passager de vélo qui entre dans le cadre n’entraîne pas un pompage de mise au point ; en animalier urbain, un chien impatient ne fait pas décrocher la netteté au moment décisif. Les modes de zone (Spot, Large, Zone étendue, Personnalisé) évitent de recomposer sans cesse : on place la zone, on déclenche, on garde le rythme. Une aide à la mise au point et un illuminateur dédiés soutiennent l’accroche lorsque la lumière baisse, pour limiter les hésitations en intérieur ou en scène de nuit.
Ce suivi facilite des usages concrets : lookbook en lumière naturelle avec mouvement de tissu, cérémonie où l’on alterne plans serrés et plans d’ambiance, portrait d’artisan où les mains se déplacent. La rafale jusqu’à 3 i/s suffit largement à saisir la bonne expression sans saturer inutilement le tri. Et parce que la détection de sujet reconnaît rapidement les silhouettes, on se concentre davantage sur la direction et la composition que sur la technique pure. L’objectif est simple : multiplier les images “gardables” tout en évitant le stress d’une mise au point capricieuse.
L’IBIS 5 axes du X2D II 100C compense jusqu’à 10 stops au centre de l’image. En intérieur, on abaisse la vitesse pour préserver un ISO modéré et garder la couleur ; la nuit, on file des phares ou on lisse un plan d’eau sans trépied. Lors d’un reportage discret, on reste mobile sans sacrifier la netteté. Connecté à Phocus Mobile 2, l’appareil récupère des informations de boussole qui aident la stabilisation sur des poses prolongées : utile pour un flair artistique avec traînées lumineuses ou pour une architecture nocturne propre. À l’inverse, sur trépied, on coupe la stabilisation afin d’éviter une compensation superflue ; de la même façon, on bascule en mode « Sport » lorsqu’on souhaite accompagner un sujet en mouvement pour des filés réguliers.
Cette marge de manœuvre rend service dans des lieux où l’on ne peut pas (ou ne veut pas) installer un pied : musée, boutique, cérémonie, espace exigu. Elle autorise aussi des rendus créatifs : bougés volontaires maîtrisés, reflets d’eau souple, filets de circulation dans un paysage urbain. L’important est de choisir l’intention visuelle : netteté clinique ou sensation de mouvement. Dans tous les cas, on gagne en souplesse d’exposition et en constance de résultat.
Le stockage interne de 1 To sécurise la séance et fluidifie l’organisation. On déclenche sans surveiller l’espace restant toutes les dix minutes, puis on duplique sur une carte CFexpress Type B pour la sauvegarde. Les débits élevés (lecture et écriture) limitent les micro‑pauses entre deux séquences et accélèrent le déchargement à la fin de la journée. Pour un travail d’équipe, cette réserve interne simplifie également la logistique : l’assistant n’a plus à passer ses journées à échanger des cartes, et l’on peut structurer le tri par blocs (matin/après‑midi, décor 1/décor 2, etc.).
Côté visée, l’écran inclinable de 3,6’’ permet de cadrer très bas ou au‑dessus d’une foule sans contorsion, tout en conservant un aperçu HDR lisible en plein jour. Les contrôles tombent sous la main : joystick 5D pour le point, boutons personnalisables pour les actions récurrentes (HDR, modes AF, stabilisation). On gagne de précieuses secondes à chaque ajustement. La rafale 3 i/s, sobre mais régulière, aide à capturer l’instant juste sans noyer la carte de fichiers redondants. Au final, le boîtier suit le rythme sans imposer le sien : on reste dans la photographie, pas dans le paramétrage perpétuel.
Phocus Mobile 2 édite les RAW et les images HDR et exporte en Ultra HDR JPEG directement sur iPhone/iPad. Concrètement, on récupère les vues via Wi‑Fi, on note, on filtre, on corrige l’exposition, on ajuste la colorimétrie, on applique la réduction de bruit HNNR quand la sensibilité a dû monter, puis on génère une planche contact ou des JPEG finaux pour validation. Le « réveil à l’arrêt » connecte l’appareil même quand il est rangé : on ne sort plus le boîtier pour avancer le flux. Pour des autoportraits, des timelapses ou un contrôle depuis le plateau, la télécommande gère exposition, mise au point et déclenchements sans toucher aux commandes physiques.
Pour qui ? Pour celles et ceux qui veulent garantir des couleurs naturelles et une dynamique cohérente de la prise de vue à la diffusion, tout en gardant un outil réactif. En portrait, on livre des tons de peau crédibles sans retouches lourdes ; en architecture intérieure, on équilibre intérieur/extérieur sans halos étranges ; en packshot, on restitue la matière sans aplatir. Et si le client souhaite des variantes “lookées”, on part sur une base saine. En résumé, le X2D II 100C accompagne des usages où l’on doit convaincre vite à l’aperçu, livrer juste, et garder de la latitude pour les finitions.
Ajout de l’AF‑C avec détection de sujet, HNCS HDR de bout en bout (capture/affichage/export), stabilisation 5 axes jusqu’à 10 stops, écran OLED 3,6’’ à 1 400 nits (gamut P3 D65) et intégration renforcée avec Phocus Mobile 2 (télécommande, édition HDR, réveil à l’arrêt).
Oui. Le boîtier capture et affiche un rendu HDR, puis exporte des fichiers HEIF HDR ou Ultra HDR JPEG directement depuis l’appareil. Les RAW restent éditables en HDR via Phocus/Phocus Mobile 2.
Le HDR est désactivé en bracketing (MAP/expo), en rafale continue, en mode Manuel (M), avec certains flashs Nikon ou si le format d’image est réglé sur « RAW uniquement ». Les RAW peuvent toutefois être traités en HDR dans Phocus puis exportés en Ultra HDR JPEG.
L’AF‑C nécessite des objectifs XCD à jour de firmware. La détection de sujet suit humains, véhicules, chiens et chats. L’AF‑C n’est pas disponible avec l’obturateur électronique.
Connectez le boîtier à Phocus Mobile 2 pour mettre à jour les infos de boussole (utiles sur des poses prolongées), tenez l’appareil de manière stable, utilisez le mode « Sport » pour suivre un sujet, et désactivez l’IBIS sur trépied.
Le X2D II 100C intègre un SSD de 1 To et un logement CFexpress Type B. Exemples fréquents à haute fiabilité : Sony CEB‑G, SanDisk Extreme Pro et Lexar Professional DIAMOND (selon capacités disponibles).
1 × Boîtier Hasselblad X2D II 100C (batterie et couvercle de protection inclus)
1 × Sangle
1 × Câble USB‑C
Garantie : 24 mois
Le Hasselblad X2D II 100C est un boîtier moyen format de 100 MP. On l’adopte pour des portraits aux dégradés peau propres, des paysages qui gardent toutes leurs nuances, ou un packshot où la matière compte vraiment. L’aperçu HNCS HDR affiché directement à l’écran aide à valider l’exposition sans deviner.
Ce boîtier moyen format possède un stockage interne de 1 To. On couvre une journée de prises de vues en restant concentré sur le cadrage, puis on sauvegarde vers une carte CFexpress Type B au besoin. Les transferts rapides et la souplesse de tri réduisent les manipulations quand le timing est serré.
L’autofocus de ce boîtier moyen format détecte et suit humains, véhicules, chiens et chats. En portrait environnemental, l’œil reste net malgré un déplacement ; en scène urbaine, l’accroche demeure quand un sujet traverse le cadre. Les modes de zone (Spot, Large, Zone étendue, Personnalisé) aident à placer la MAP exactement là où on la veut sans recomposer.
La stabilisation 5 axes offre jusqu’à 10 stops de compensation. À main levée, on baisse la vitesse pour conserver un ISO modéré ; la nuit, on file des phares ou on lisse l’eau sans sortir de pied. L’écran OLED de 3,6’’ (jusqu’à 1 400 nits, P3 D65) rend l’aperçu HDR lisible en plein jour, et Phocus Mobile 2 permet de trier, retoucher (y compris HDR) et exporter en Ultra HDR JPEG directement sur iPhone/iPad.
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